Re-cko Sortit de sa tente, la torpeur chaude des nuits d'été avait laissé sa place aux rosée glaçante d'automnes. Après avoir ramassé ses quelques affaires, car il voyageait léger, il se mit en marche, voyant se profierl a deux lieues d'ici la structure d'un poste de Garde, bien tenu. Il s'approcha, avec cette allure qu'ont toujours les vagabonds, les vrais, qui rencontrent un nouveau lieu, une nonchalance dans l'ame, mais tout les muscles crispés, comme alertés.
Il je ta son baton au sol et cria : " JE ME PRESENTE A VOUS, LIBRE, MAIS DESIREUX !"
Sur ces mots il attendit la réponse des Gardes, stoïque.